Ici, les hommes parlent vrai
Ce n’est pas un conte de fées. Juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à La Roche-sur-Yon.
Je ne vais pas tourner autour du pot : je suis un mec gay, tendre, prêt à construire. Pas là pour collectionner les plans d’un soir, mais pour vibrer, vraiment, avec un homme qui assume ce qu’il veut. Et si tu lis ces lignes, c’est que toi aussi, tu cherches plus qu’un simple échange de regards dans une ruelle sombre ou un swipe sans lendemain.
La Roche-sur-Yon, ce n’est pas Paris ou Nantes, mais c’est justement ça qui me plaît. Ici, on se croise, on se reconnaît, parfois on se frôle au marché des Halles ou sur la place Napoléon, entre deux lions mécaniques. On se retrouve à la terrasse d’un café du centre-ville, ou on ose un sourire complice au Cybèle, ce bar où l’on sait qu’on peut être soi-même, sans masque.
Je ne vais pas te mentir : la scène gay à La Roche-sur-Yon n’est pas immense. Mais elle existe, discrète, sincère, et c’est ce qui la rend précieuse. Les rencontres se font souvent au détour d’une expo au Cyel, d’un concert à Quai M, ou lors d’une balade dans le quartier du Bourg-sous-la-Roche. Parfois, c’est juste un message sur une appli, mais ce que je veux, c’est que ça devienne réel, palpable, vivant.
Je suis prêt à vibrer, à construire, à partager des moments simples : un ciné au Concorde, une virée au parc des Oudairies, ou juste un verre en terrasse, à parler de tout, de rien, de nous peut-être. Je ne cherche pas la perfection, juste quelqu’un d’authentique, qui n’a pas peur d’aimer, ici, dans cette ville à taille humaine où chaque rencontre compte.
Alors si toi aussi tu veux écrire une histoire qui commence à La Roche-sur-Yon, sans fioritures, sans faux-semblants, je suis là. Prêt à te rencontrer, à te découvrir, et à vibrer, enfin, pour de vrai.
La Roche-sur-Yon
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Ce n’est pas un conte de fées. Pas de prince charmant sur un cheval blanc, pas de bal masqué où tout se joue en un regard. Non, c’est juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à La Roche-sur-Yon. Une ville qui ne fait pas de bruit, mais qui sait vibrer quand il le faut. Moi, je suis ce gars tendre, prêt à construire, prêt à vibrer avec un homme. Pas besoin de grandes promesses, juste l’envie d’y croire, encore une fois.
À La Roche-sur-Yon, la rencontre gay, c’est d’abord une question de feeling. On n’est pas à Paris, ni à Nantes, mais on a nos repères. Le bar Le QG, rue du Maréchal Joffre, c’est un peu le point de chute. On y croise des regards, on y échange des sourires, parfois des silences qui en disent long. Pas de faux-semblants, pas de chichis. Ici, on vient comme on est, avec ses envies, ses doutes, ses espoirs. Et puis il y a la place Napoléon, ses bancs, ses fontaines, où l’on s’assoit pour refaire le monde ou juste se laisser porter par la douceur d’un soir d’été.
La Roche-sur-Yon, c’est aussi la plage des Dunes à Brétignolles, à quelques kilomètres. Un spot connu pour ses rencontres discrètes, loin des regards, mais pas loin des cœurs. On s’y retrouve, on s’y découvre, parfois on s’y attache. Parce qu’ici, la tendresse n’est pas un gros mot. Elle se vit, elle se partage, sans détour. Et puis il y a les soirées organisées par l’association LGBT Vendée, qui fédère, qui rassure, qui donne envie de croire qu’on n’est pas seul. Les événements comme la Marche des Fiertés, même à taille humaine, rappellent qu’on existe, qu’on a le droit d’aimer, de rêver, de recommencer.
Je ne cherche pas l’impossible. Je veux juste rencontrer un homme, ici, à La Roche-sur-Yon, qui a envie d’y croire lui aussi. Pas besoin de se cacher, pas besoin de jouer un rôle. On a tous nos cicatrices, nos histoires, nos envies de recommencer. Les applis, c’est bien, mais rien ne remplace un vrai regard, une vraie conversation, un vrai frisson. Ici, on peut encore se surprendre, se donner une chance, sans pression, sans jugement.
Alors oui, ce n’est pas un conte de fées. Mais c’est peut-être le début d’une belle histoire. Une histoire simple, vraie, qui commence ici, à La Roche-sur-Yon. Et si c’était ici que tout commençait vraiment ?