
Ici, les hommes parlent vrai
Ce n’est pas un conte de fées. Juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à Draguignan.
Je m’appelle Lucas, j’ai 21 ans, et comme beaucoup d’étudiants, j’ai débarqué à Draguignan avec un mélange d’excitation et d’appréhension. J’avais envie de rencontres sincères, de chaleur humaine, de ces moments où l’on se sent compris, accepté, aimé. Ici, dans le Var, la vie gay n’est pas toujours visible, mais elle existe, discrète et vibrante, prête à s’ouvrir à ceux qui la cherchent.
Au fil des semaines, j’ai appris à repérer les petits signes, à reconnaître les regards complices dans les rues du centre-ville, à la terrasse d’un café sur le boulevard Clemenceau ou lors d’une expo à l’Espace d’Art Contemporain Châteaudouble. J’ai découvert que le Parc Haussmann, en journée, pouvait devenir un lieu de discussions spontanées, où l’on croise d’autres jeunes, parfois aussi curieux et ouverts que moi.
Les soirées entre amis se terminent souvent dans un bar du quartier des Colettes, où l’on se sent libre d’être soi-même, même si la scène gay n’est pas aussi affichée qu’à Nice ou Marseille. Ici, tout se fait en douceur, dans le respect et la bienveillance. Les associations locales, comme Le Refuge ou Contact Var, organisent parfois des rencontres, des ateliers, des moments de partage qui font du bien au cœur.
Rencontrer d’autres garçons à Draguignan, c’est avant tout une question de feeling. On se croise sur les applis, bien sûr, mais aussi à la médiathèque, à la sortie d’un film au cinéma CGR, ou lors d’un pique-nique improvisé sur les hauteurs du Malmont. Parfois, il suffit d’un sourire, d’un mot échangé, pour que la magie opère.
Je ne cherche pas le grand amour à tout prix. J’ai juste envie de moments vrais, de complicité, de chaleur humaine. Ici, à Draguignan, chaque rencontre est une petite victoire sur la solitude, une promesse de douceur dans un monde qui va trop vite. Si toi aussi tu ressens ce besoin, sache que tu n’es pas seul. Nos histoires ne sont peut-être pas des contes de fées, mais elles valent la peine d’être vécues, ici et maintenant.

Draguignan
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Ce n’est pas un conte de fées. Juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à Draguignan, petite ville du Var où je poursuis mes études, entre amphithéâtres, cafés et ruelles baignées de soleil. Comme beaucoup, j’ai ressenti ce besoin de chaleur humaine, ce désir de partager un sourire, un regard, une conversation sincère. La rencontre gay à Draguignan, ce n’est pas toujours simple, mais c’est possible, et parfois, c’est même beau.
Draguignan n’est pas Paris, ni même Nice. Ici, la communauté LGBTQ+ se fait plus discrète, mais elle existe, bien vivante, tissée de liens et de solidarité. J’ai découvert, au fil des semaines, quelques lieux où l’on peut se retrouver sans crainte d’être jugé. Le bar Le Central, en plein centre-ville, n’est pas officiellement gay, mais il accueille avec bienveillance tous ceux qui cherchent à se sentir eux-mêmes. Les soirées y sont douces, les discussions sincères, et il n’est pas rare d’y croiser d’autres garçons qui, comme moi, cherchent à briser la solitude.
Il y a aussi ces coins un peu secrets, comme le parc Haussmann, où l’on se promène en fin d’après-midi, espérant croiser un regard complice. Certains parlent de la plage de Saint-Aygulf, à une trentaine de minutes de route, connue pour son ambiance gay-friendly et ses rencontres estivales. Mais à Draguignan même, c’est souvent dans la simplicité du quotidien que naissent les plus belles histoires : un café partagé sur la place du Marché, une balade dans les ruelles anciennes, un sourire échangé à la médiathèque.
La vie associative joue aussi un rôle important. L’association Le Refuge, présente dans le Var, propose écoute et accompagnement aux jeunes LGBTQ+ en difficulté. Même si elle n’a pas de local permanent à Draguignan, elle organise régulièrement des rencontres et des ateliers, où l’on peut parler, se confier, et parfois, tisser des liens qui vont au-delà de l’amitié. Les événements comme la Marche des Fiertés de Toulon, à une heure de train, rassemblent chaque année des Dracénois venus célébrer la diversité et l’amour sous toutes ses formes.
Je ne cherche pas le prince charmant, juste quelqu’un avec qui partager un bout de chemin, ici, dans cette ville à taille humaine. La rencontre gay à Draguignan, c’est accepter que tout ne soit pas parfait, que parfois il faut oser, sortir de sa zone de confort, et croire en la magie des petits instants. Ce n’est pas un conte de fées, mais c’est une histoire vraie, la mienne, la tienne, la nôtre, qui commence peut-être ce soir, au détour d’une rue ou d’un message échangé sur une appli.
La vraie rencontre, elle commence souvent là où on ne s’y attend pas.