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  • À Reims, les hommes gays vous attendent pour parler, vibrer, rencontrer

    Certains cherchent l’amour dans les applis. Moi, j’ai préféré marcher dans les rues de Reims, histoire de voir si la magie opère aussi hors écran. À 28 ans, célibataire et curieux, je me suis lancé dans l’aventure de la rencontre gay à Reims, sans plan précis, juste l’envie de croiser des regards, d’échanger des sourires, et peut-être de tomber sur quelqu’un qui partage mon goût pour les balades improvisées et les discussions qui s’étirent.

    Reims, ce n’est pas Paris, mais la ville a son charme et ses coins où la communauté LGBT+ se retrouve. J’ai commencé par le centre-ville, autour de la place d’Erlon, où les terrasses s’animent dès les premiers rayons de soleil. Ici, on croise de tout : des étudiants, des trentenaires, des couples, des solitaires. L’ambiance est détendue, et il suffit parfois d’un café partagé ou d’un verre en terrasse pour engager la conversation. J’ai aussi découvert que certains bars, comme Le Clos ou Le Coq Rouge, sont connus pour leur ouverture d’esprit et leur clientèle variée. On y vient pour l’ambiance, mais aussi pour la possibilité de faire de belles rencontres, sans pression.

    Le quartier du Boulingrin, avec son marché couvert et ses petites rues pleines de vie, est un autre spot où il fait bon flâner. J’y ai croisé des gens sympas, parfois juste pour discuter, parfois pour plus si affinités. Ce que j’aime à Reims, c’est qu’on peut être soi-même sans se sentir jugé. Les événements LGBT+ organisés par des assos locales, comme Ex Aequo, sont aussi de belles occasions de rencontrer du monde, que ce soit lors d’une soirée, d’un apéro ou d’une projection de film.

    Bien sûr, les applis restent un moyen pratique pour élargir ses horizons, mais rien ne remplace le plaisir d’une rencontre spontanée, d’un échange de regards dans une rue pavée ou d’un fou rire partagé lors d’une soirée. À Reims, la scène gay n’est pas immense, mais elle est vivante, accueillante, et surtout, elle laisse la place à la surprise.

    Si tu es comme moi, curieux et sans attente figée, je te conseille de sortir, d’oser aller vers les autres, et de profiter de ce que Reims a à offrir. Qui sait, la prochaine rencontre marquante se trouve peut-être au détour d’une ruelle, sur un banc du parc Léo Lagrange, ou autour d’un verre dans un bar du centre. Après tout, c’est souvent quand on ne cherche pas absolument qu’on fait les plus belles découvertes.

    Ces hommes gays n’attendent qu’une voix : la vôtre

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    Certains cherchent l’amour dans les applis. Moi, j’ai préféré marcher dans les rues de Reims. Pas que je sois allergique aux swipes frénétiques ou aux profils bien léchés, mais il y a quelque chose de plus vivant, de plus vrai, à croiser un regard dans la lumière dorée d’une terrasse ou à échanger un sourire dans une ruelle pavée. À 28 ans, célibataire et curieux de nature, j’ai décidé de laisser mon téléphone dans la poche et de voir ce que la ville avait à offrir à un gars comme moi, en quête de rencontres gay à Reims.

    Reims, ce n’est pas Paris, mais la ville a ce charme discret qui donne envie de s’attarder. Le quartier du Boulingrin, par exemple, est un vrai terrain de jeu pour les rencontres. Entre les bars animés et les petits restos, il y a toujours moyen de croiser quelqu’un qui partage un peu plus qu’un verre. Le Clos, bar gay emblématique de la ville, est devenu mon QG du vendredi soir. On y retrouve une ambiance chaleureuse, des discussions qui partent dans tous les sens, et parfois, un feeling qui s’installe sans prévenir. Pas besoin de se forcer, ici, on vient comme on est, et c’est déjà beaucoup.

    Pour ceux qui aiment l’ambiance club, le Vogue Club, même s’il n’est pas exclusivement gay, attire une clientèle LGBTQ+ ouverte et festive. Les soirées y sont souvent l’occasion de lâcher prise, de danser sans se soucier du regard des autres, et pourquoi pas, de faire une rencontre inattendue. J’ai aussi découvert que la ville avait ses coins plus discrets, comme le parc Léo Lagrange, connu pour être un lieu de drague gay à Reims, surtout à la tombée de la nuit. Ce n’est pas forcément mon truc, mais je comprends que chacun ait sa façon de chercher, ou de trouver.

    Au-delà des lieux, ce qui m’a marqué, c’est la vitalité des associations LGBTQ+ locales. Ex Aequo, par exemple, organise régulièrement des événements, des apéros, des ciné-débats, qui permettent de rencontrer d’autres gays de Reims dans un cadre bienveillant. J’y ai croisé des gens de tous horizons, certains venus pour militer, d’autres juste pour papoter autour d’un verre. C’est aussi là que j’ai compris que la rencontre gay à Reims, ce n’est pas seulement une question de drague, mais aussi de partage et de solidarité.

    Et puis, il y a les événements comme la Marche des Fiertés, qui rassemble chaque année la communauté LGBTQ+ de la Marne. Marcher dans les rues de Reims, entouré de couleurs et de sourires, ça donne le sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand. On se sent moins seul, et parfois, c’est là que tout commence.

    Alors oui, certains cherchent l’amour dans les applis. Moi, j’ai préféré marcher dans les rues de Reims. Et si c’était ici que tout commençait vraiment ?