Besoin d'une rencontre gay à Saint-Étienne ? Parlez avec des hommes ouverts

Ce n’est pas un conte de fées. Juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à Saint-Étienne.

Je m’appelle Julien, j’ai 32 ans, et je suis ce gars qui préfère les sentiers du Pilat aux pistes de danse, même si j’aime aussi l’ambiance d’un bon bar gay en ville. Si tu cherches une rencontre gay à Saint-Étienne, mais que tu en as marre des profils qui ne vont pas plus loin que “salut ça va”, alors on est peut-être sur la même longueur d’onde.

Saint-Étienne, ce n’est pas Paris, et c’est tant mieux. Ici, on se croise au Parc de l’Europe pour un footing, on se retrouve au Marais pour un café, ou on improvise une rando sur les crêtes du Guizay. J’aime cette ville parce qu’elle est à taille humaine, parce qu’on peut discuter sans se presser, et parce que la communauté gay, même discrète, sait se retrouver dans des lieux comme le Shamrock ou le Saint Patrick, où l’on peut vraiment échanger, loin des clichés.

Je ne cherche pas le prince charmant, juste quelqu’un d’authentique. Un gars qui aime bouger, qui n’a pas peur de se salir les baskets, mais qui sait aussi s’arrêter pour parler de tout, de rien, de ce qui compte vraiment. J’aime les discussions profondes, celles qui commencent sur un banc de la place Jean Jaurès et qui finissent à refaire le monde jusqu’à la fermeture du bar.

Si tu es sportif, curieux, et que tu as envie d’une vraie complicité, alors pourquoi ne pas tenter l’aventure ? On pourrait se donner rendez-vous au Parc de Montaud pour une balade, ou tester ensemble les sentiers du Bessat. Et si le courant passe, on ira peut-être trinquer à la tienne dans un des bars du centre-ville, ou simplement marcher dans les rues de Sainté, sans se prendre la tête.

Ici, il n’y a pas de promesses en l’air. Juste l’envie de rencontrer quelqu’un qui partage mes valeurs et mon énergie. Si tu te reconnais, envoie-moi un message. Après tout, chaque histoire commence par une rencontre, et la nôtre pourrait bien débuter ici, à Saint-Étienne.

Ce n’est pas un conte de fées. Juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à Saint-Étienne. Je suis gay, sportif, amateur de randonnée et de discussions profondes. J’ai longtemps cru que la rencontre idéale se passait ailleurs, dans une grande ville, sur une appli, ou lors d’une soirée magique. Mais la réalité, c’est que la complicité sincère, celle qui fait vibrer, peut naître au détour d’un sentier du Pilat, dans un bar du centre-ville, ou même au coin d’une rue stéphanoise.

À Saint-Étienne, la scène gay n’est pas immense, mais elle a ce côté authentique qui me parle. Ici, on se croise souvent au Marais, ce bar emblématique où les regards se cherchent et où les discussions s’engagent sans fard. On y vient pour boire un verre, mais aussi pour sentir qu’on fait partie d’une communauté, même discrète. Parfois, c’est au Sauna Le 7 que les rencontres se font plus intimes, loin des regards, dans une atmosphère détendue où chacun peut être soi-même.

Mais la vraie vie gay à Saint-Étienne, elle ne se limite pas aux lieux de sortie. Elle se vit aussi dehors, sur les sentiers du parc naturel régional du Pilat, où j’aime marcher, respirer, et parfois croiser un autre gars qui partage la même envie de nature et de liberté. Les randonnées organisées par l’association Contact Loire ou les événements de l’Autre Cercle sont autant d’occasions de rencontrer des hommes qui, comme moi, cherchent plus qu’une aventure d’un soir. Ici, on prend le temps de se connaître, de parler, de rire, de partager un café sur la place Jean Jaurès après une balade, ou de refaire le monde lors d’un pique-nique improvisé au parc de l’Europe.

Saint-Étienne, c’est aussi une ville qui bouge, avec sa Marche des Fiertés, ses soirées LGBTQ+ à la Taverne du Gobelin Farci, et ses associations comme Triangle Rose qui militent pour plus de visibilité et de tolérance. On y croise des profils variés, des étudiants, des artistes, des sportifs, tous unis par l’envie de vivre pleinement leur identité. Ici, la rencontre gay n’est pas un mythe inaccessible. Elle est à portée de main, pour peu qu’on ose sortir de sa zone de confort et aller vers l’autre, sans masque ni faux-semblant.

Je ne cherche pas le prince charmant, juste quelqu’un avec qui partager une rando, un fou rire, une discussion qui va loin. À Saint-Étienne, la complicité sincère existe, parfois là où on ne l’attend pas. La vraie rencontre, elle commence souvent là où on ne s’y attend pas.