Besoin d'une rencontre gay à Montélimar ? Parlez avec des hommes ouverts

Tout le monde parle du Marais, mais moi, c’est ici, à Montélimar, que j’ai compris ce que je cherchais vraiment. Après des années à jouer un rôle, à faire semblant pour les autres, j’ai fini par me regarder en face. Père divorcé, la quarantaine bien entamée, j’ai décidé d’assumer qui je suis. Pas pour faire plaisir à la galerie, mais parce que j’en avais marre de me mentir. Ce que je veux aujourd’hui, c’est simple : de la chaleur humaine, des rencontres vraies, sans faux-semblants.

Montélimar, ce n’est pas Paris, c’est sûr. Ici, pas de grandes parades ni de bars branchés à tous les coins de rue. Mais c’est justement ça qui me plaît. On se croise au Jardin Public, on se retrouve pour un café en terrasse sur les Allées Provençales, on se sourit au détour d’une balade sur les berges du Roubion. Les regards sont parfois timides, mais ils veulent tout dire. J’ai découvert que la communauté gay à Montélimar existe, même si elle ne crie pas sur tous les toits. On se reconnaît, on se soutient, et surtout, on se comprend.

J’ai fait mes premiers pas sur les applis, comme tout le monde. Mais franchement, rien ne vaut une vraie rencontre, un échange de regards au marché du samedi matin, ou une discussion qui s’éternise au Café de l’Horloge. Ici, pas besoin de jouer un personnage. On vient comme on est, avec ses doutes, ses envies, ses cicatrices. J’ai croisé des gars comme moi, qui en ont bavé, qui cherchent juste à ne plus être seuls. Et c’est ça, la vraie richesse de Montélimar : cette sincérité, cette envie de partager un moment, un verre, ou plus si affinités.

Alors oui, la rencontre gay à Montélimar, ce n’est pas toujours simple. Mais c’est authentique. On se retrouve parfois au Parc de Sarda, on échange un mot, un sourire, et parfois, ça débouche sur une belle histoire. Pas de chichis, pas de faux-semblants. Juste des hommes qui veulent vivre, aimer, et ne plus se cacher.

Si tu es comme moi, que tu as envie de sortir de l’ombre, de rencontrer des gars vrais, Montélimar a de quoi t’offrir de belles surprises. Il suffit d’oser, de sortir, de lever les yeux. Parce qu’au fond, ce qu’on cherche tous, c’est un peu de chaleur humaine. Et ici, dans la Drôme, elle existe, discrète mais bien réelle.

On m’a souvent dit que pour vivre pleinement sa vie gay, il fallait monter à Paris, traîner dans le Marais, s’encanailler dans les bars branchés et les clubs où tout le monde se connaît. Mais moi, c’est à Montélimar, dans cette ville de la Drôme qu’on réduit trop souvent à son nougat, que j’ai enfin compris ce que je cherchais vraiment : de la chaleur humaine, de la vraie, pas celle des néons ou des regards fuyants. Après un divorce, des années à me mentir, j’ai décidé d’assumer qui je suis. Et c’est ici, loin des clichés, que j’ai trouvé ma place.

La rencontre gay à Montélimar, ce n’est pas une histoire de paillettes ou de grandes déclarations. C’est d’abord une question de sincérité. On ne se cache plus, ou en tout cas, on essaie. J’ai découvert que la communauté LGBTQ+ locale, même discrète, sait se serrer les coudes. Il y a des lieux où l’on se retrouve, comme le bar Le 3, rue Pierre Julien, qui accueille tout le monde sans juger. On y croise des gars de tous âges, des habitués, des nouveaux venus, des pères comme moi qui cherchent juste à discuter autour d’un verre, à sentir qu’ils ne sont pas seuls.

Montélimar, ce n’est pas Paris, mais il y a une vraie vie gay ici. Les bords du Roubion, l’été, deviennent un spot de drague tranquille, loin du bruit, où l’on peut se balader, échanger un sourire, parfois plus si affinités. Les applis de rencontre gay fonctionnent aussi, mais rien ne remplace le contact direct, le regard, la complicité qui se crée au détour d’une terrasse ou d’un événement local. L’association Arc-en-Ciel Drôme Ardèche organise régulièrement des soirées, des apéros, des moments où l’on peut parler, rire, se soutenir. J’y ai trouvé des amis, des amants, parfois les deux à la fois.

Ce que j’aime ici, c’est qu’on n’a pas besoin de jouer un rôle. On peut être père, divorcé, un peu cabossé par la vie, et quand même espérer une rencontre gay sincère à Montélimar. On croise des regards complices au marché, on échange un mot à la médiathèque, on se retrouve à la plage du Teil, de l’autre côté du Rhône, où la tolérance est de mise. Ce n’est pas toujours simple, mais c’est vrai. Et c’est ça qui compte.

Alors oui, tout le monde parle du Marais, mais moi, c’est ici, à Montélimar, que j’ai compris que le bonheur, ce n’est pas forcément là où on l’attend. Parfois, il suffit de se laisser porter, d’oser faire le premier pas, de tendre la main. Ici, à Montélimar, il suffit parfois de se laisser porter.