Ici, les hommes parlent vrai
Ce n’est pas un conte de fées. Juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à Arles.
Je m’appelle Lucas, j’ai 22 ans, étudiant en histoire de l’art à la fac d’Aix, mais mon cœur, lui, bat pour Arles. Ici, entre les ruelles dorées du centre-ville, les pierres chaudes de la place du Forum et les rives tranquilles du Rhône, j’ai décidé d’ouvrir un nouveau chapitre : celui de la rencontre gay à Arles.
Je ne cherche pas le prince charmant, juste quelqu’un qui me ressemble, ou qui me surprenne. Peut-être un autre étudiant, un passionné de photo croisé lors des Rencontres d’Arles, ou un habitué du Café Liszt, ce bar où l’on se retrouve parfois entre garçons pour refaire le monde autour d’un verre. Parfois, c’est au parc des Ateliers, à l’ombre de la tour Luma, que les regards se croisent, timides ou audacieux. Il y a aussi ces soirées improvisées dans le quartier de la Roquette, où l’on danse, où l’on rit, où l’on ose être soi.
Arles n’est pas Paris, ni Marseille. Ici, la communauté gay est discrète, mais bien vivante. On se reconnaît, on se sourit, on se retrouve sur les applis ou lors d’événements comme la Pride de Nîmes, pas très loin d’ici. Mais ce que j’aime, c’est cette sensation d’intimité, de proximité. On prend le temps de se découvrir, de se raconter, de s’apprivoiser.
Je suis prêt à vivre une belle rencontre, à partager un café en terrasse, une balade au bord du Rhône au coucher du soleil, ou une visite nocturne des arènes. Prêt à vibrer, à rire, à aimer, sans pression, sans masque. Juste deux garçons, deux histoires, et peut-être, une belle aventure à écrire ensemble.
Si toi aussi tu es curieux, ouvert, et que tu as envie de vivre une rencontre authentique à Arles, sache que tu n’es pas seul. Ici, tout peut commencer, même une belle histoire.
Arles
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Ce n’est pas un conte de fées. Juste une histoire comme tant d’autres. Mais elle commence ici, à Arles, cette ville du Sud où la lumière caresse les pierres anciennes et où, parfois, le cœur cherche à s’ouvrir. Je suis étudiant, gay, curieux de tout, et j’ai envie de croire que la rencontre, la vraie, peut se produire n’importe où. Même ici, entre Rhône et Camargue, dans cette ville qui vibre d’art, de culture et de secrets partagés.
Arles n’est pas Paris, ni Marseille. Ici, la scène gay est plus discrète, mais elle existe, bien vivante, portée par des regards complices et des sourires échangés dans les ruelles du centre historique. J’ai appris à reconnaître les signes, à sentir cette énergie particulière qui flotte autour de la place du Forum, surtout à la terrasse du Café Van Gogh, où il n’est pas rare de croiser d’autres garçons comme moi, venus chercher un peu plus qu’un simple café.
Pour ceux qui aiment sortir, le bar Le Paddy Mullin’s, même s’il n’est pas exclusivement gay, est un point de rendez-vous incontournable. On y croise souvent des habitués de la communauté LGBTQ+ d’Arles, surtout lors des soirées à thème ou pendant les festivals. Et puis, il y a les plages sauvages de Piémanson, à quelques kilomètres, où l’on peut se retrouver loin des regards, marcher pieds nus dans le sable, et peut-être, oser une première main frôlée.
Arles, c’est aussi une ville d’événements. Chaque année, la Pride de Marseille rayonne jusque dans nos rues, et l’association Le Refuge, présente dans la région, organise des rencontres, des ateliers, des moments de partage où l’on se sent moins seul. J’ai participé à quelques soirées organisées par l’association Arles Queer, et j’y ai découvert des personnes formidables, prêtes à écouter, à rire, à danser jusqu’au bout de la nuit.
Mais la rencontre, la vraie, ne se programme pas. Elle surgit parfois au détour d’une expo aux Rencontres de la Photographie, ou lors d’un apéro improvisé sur les quais du Rhône. Elle se glisse dans un regard, un mot, une envie commune de vivre quelque chose de simple, de sincère, sans faux-semblant. Ici, à Arles, on apprend à prendre son temps, à savourer chaque instant, à se laisser surprendre.
Je ne cherche pas le prince charmant, juste quelqu’un qui, comme moi, a envie de partager un bout de chemin, une soirée, un fou rire, ou peut-être plus. Je suis là, prêt à te rencontrer, toi.